Citer :
Il remontait avec un cortège passionné sur un trône délaissé à son approche."
C'est bien ce que Châteaubriand reprochait à Louis XVIII, pour lequel il n'éprouvait pas, d'ailleurs une considération exagérée. Pour lui, lorsqu'on a la chance d'être sur le trône d'un pays comme la France, on le défend les armes à la main et on ne s'enfuit pas comme un voleur. Je n'ai pas la patience de feuilleter les
Mémoires d'outre tombe pour y retrouver la phase exacte qu'il y a écrite à ce propos.
Au passage, on peut noter que le quart, à peu près, de ces Mémoires, est consacré à Napoléon, pour lequel il avoue une grande fascination.