D'après l'instruction du 12 décembre 1813, la taille des chevaux destinés aux cuirassiers devait être comprise entre 1,549 et 1,597 m ; contre 1,502 à 1,543 m pour les dragons et 1,434 à 1,489 m pour la cavalerie légère.

Un cuirassier devait mesurer au minimum 1,73 m ils étaient lourdement chargés et devaient avoir de puissant chevaux .Pour le froid je ne sais pas .

D'après l'instruction du 12 décembre 1813, la taille des chevaux destinés aux cuirassiers devait être comprise entre 1,549 et 1,597 m ; contre 1,502 à 1,543 m pour les dragons et 1,434 à 1,489 m pour la cavalerie légère.

De fait, la plupart des chevaux de cavalerie légère seraient, aujourd'hui, classés parmi les double-poneys dont la taille maximale au garrot est de 1m48.

A noter que les cuirassiers avaient pris l'habitude de fixer le manteau sur le devant en le ficelant sur les fontes, offrant ainsi plus de protection pour le ventre du combattant.

elles même ont des origines de "peuples cavaliers" d'Asie centrale qui utilisaient des archers à cheval montés sur des poney pouvant parfois n'avoir qu'1m30 au garrot.

Une anecdote.
Dans ses mémoires le commandant de hussard Parquin , raconte que durant la campagne d'Espagne face aux troupes de Wellington , des officiers britanniques venaient narguer à cheval les avant- post des troupes françaises . Des cavaliers français se lançaient à leur poursuite, mais jamais ils n'ont pu les rattraper!

Sans doute faites-vous référence à cette anecdote (Parquin, Souvenirs de Gloire et d'Amour) :
"Près de Sabugal, M. Fage, du 13e chasseurs, poursuivait un officier, qui, admirablement monté, se tenait constamment à dix pas de lui, distance que Fage ne pouvait arriver à franchir malgré tous ses efforts. L'Anglais se retournait légèrement, sans arrêter son cheval, et disait d'un grand sang-froid, mais avec un ton goguenard à son adversaire :
-Vous montez là sans doute, monsieur l'officier, un cheval normand ?
Piqué par cette saillie, Fage prend son pistolet, vise l'officier anglais, mais l'arme rate.
-C'est, reprend celui-ci sans s'émouvoir, de la manufacture de Versailles, que vous recevez ces armes ?"

Humour anglais...

Les soldats Français et Russes grelottant et recherchant la chaleur commencerent a occuper le meme village qu'ils pillerent chacun de leur coté, les combats commencerent entre eux pour garder le village pour eux, et allant s'intensifiant, finit par devoir faire intervenir l'armée, mais Napoleon au depart ne voulait pas de cette bataille, voila pour l'annecdotte.