Bonjour

en exil vers l'île d'Elbe le 2 mai 1814 alors au large de Calvi Napoléon déclara à ses interlocuteurs

que la royauté de la Corse et la souveraineté de Gênes lui avaient été offertes, mais que pour être moins en vue, il avait préféré l'île d'Elbe

autrement dit le territoire continental et insulaire qui correspondait à la Sérénissime République de Gênes avant 1769

la couronne de Roi de Corse et de Gênes proposée à Napoléon?

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"A moi Auvergne"

Si la Corse (tout comme la Sardaigne ou Corfou) fut évoquée dans les négociations (mais certainement pas Gênes), on ne la proposa pas à Napoléon, et ce fut l'option elboise chère au Tsar, malgré les grognements des autres Alliés, qui l'emporta finalement et qui fut soumise à l'Empereur.

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" Grâce aux prisonniers. Bonchamps le veut. Bonchamps l'ordonne ! " (d'Autichamp)

Merci Cyril,
il aurait été tout de même paradoxal de lui céder la Sardaigne qui demeura pendant toutes les guerres de la Révolution et de l'Empire un Etat indépendant de la France, refuge de la Maison de Savoie-Piémont comme le furent la Sicile pour les Bourbons de Naples et le Brésil pour la Couronne Portugaise, la Sardaigne avait repoussé une invasion Française en 1793 où participait le lieutenant-colonel Bonaparte

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"A moi Auvergne"

Caulaincourt dans ses Mémoires qualifia la question d'une telle cession " d'obstacle insurmontable".

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" Grâce aux prisonniers. Bonchamps le veut. Bonchamps l'ordonne ! " (d'Autichamp)

Autre "obstacle insurmontable" (quoiqu'en dise le Mémorial de Peyrusse avec Gênes) : toute souveraineté sur le continent.

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" Grâce aux prisonniers. Bonchamps le veut. Bonchamps l'ordonne ! " (d'Autichamp)