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 Sujet du message : Re: La Guerre franco-allemande
Message Publié : 27 Avr 2021 17:16 
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C'est surtout à von Roon fermement soutenu par Guillaume que la Prusse doit le renouveau de son armée. La modernisation intervient à partir de 1859 avec la réforme de la Landwehr. Roon ministre de la guerre, Moltke chef d'état-major et Bismarck chancelier forment la trilogie gagnante. A noter que Bismarck ne se mêle pas des affaires de l'armée, chasse gardée de Guillaume et de von Roon.

La Rhénanie n'est pas entièrement catholique, et est prussienne depuis 1815, il n'y a pas de problème de conscription. Il y en aura un peu plus du côté du Hanovre, annexé en 1866, mais c'est peu de chose.

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Il n'est pas nécessaire d'espérer pour entreprendre, ni de réussir pour persévérer (Guillaume le Taciturne)


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 Sujet du message : Re: La Guerre franco-allemande
Message Publié : 24 Mai 2021 22:54 
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Polybe
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Jean-Marc Labat a écrit :
"Nous sommes prêts et archiprêts. La guerre dût-elle durer deux ans, il ne manquerait pas un bouton de guêtre à nos soldats." affirmait le ministre de la guerre lors de la déclaration des hostilités. Cela résume l'aveuglement des hautes sphères de l'Etat et de l'armée. Nous vivons sous le souvenir de Iena, alors que les conditions de la guerre étaient changées. Si les rapports de Stoeffel avaient été lus, et analysés, nous aurions peut être pris des mesures.

Un véritable aveuglement...
La citation de Pierre Goubert dans Initiation à l'histoire de la France : « Il n'est pas impossible que Napoléon III ait senti venir cette triste fin ; mais il n'était plus que l'ombre de lui-même ; son demi-frère lui manquait, et il n'avait pas su résister aux initiatives lamentables de l'Impératrice. »


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 Sujet du message : Re: La Guerre franco-allemande
Message Publié : 28 Avr 2022 19:19 
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Polybe
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Pierre Milza relate l'entrée en guerre de la France :

Devant les membres de la commission militaire du Corps législatif, le maréchal Le Bœuf a explicité ce qu’était une armée prête : « J’entends par là que, si la guerre devait durer un an, nous n’aurions pas besoin d’acheter un bouton de guêtre. » Peut-être, mais à quoi servent les guêtres s’il n’y a pas assez de combattants pour les chausser ? Or, c’est là que réside le principal problème de l’armée française. « Le nombre, avait dit l’empereur, aura à la guerre une importance décisive, il faut absolument se l’assurer. » C’est pourquoi il avait conçu un projet de conscription généralisée qui aurait permis à la France de disposer d’une force de 880 000 hommes, au lieu des 380 000 fournis par le régime encours. Ce fut, on l’a vu, un beau tollé à la Chambre, où opposants de tous bords, bonapartistes « budgétaires », et même généraux conservateurs comme Changarnier et Trochu, se trouvèrent d’accord pour rejeter le projet. Si bien que la loi du 14 janvier 1868 ne donna lieu qu’à un vague replâtrage des dispositions en vigueur depuis 1832. Nombre de députés élus en 1869 ayant promis à leurs électeurs une réduction du budget militaire, on procéda en plus à des coupes sombres dans les crédits, en restreignant notamment à 80 000 hommes le contingent annuel. Résultat : Napoléon III ne pouvait guère disposer en 1870 que de 235 000 soldats en état de combattre, tandis que la Prusse pouvait en aligner plus de 500 000, soutenus par 160 000 réservistes et par les190 000 hommes de la Landwehr. A cette infériorité des effectifs, s’ajoute celle de l’armement, manifeste dans l’artillerie, une arme pourtant chère à l’empereur. A l’Exposition universelle de 1867, les visiteurs français ont eu tout loisir d’admirer la puissance apparente et la modernité des canons Krupp, en acier et chargés par la culasse. Les fantassins de 1870 feront la funeste expérience de son efficacité. Si le chassepot a « fait merveille » à Mentana, il ne suffira pas à compenser l’infériorité de l’armée impériale en matière de logistique et d’intendance. Quant au commandement, rompu aux guerres coloniales, il a perdu l’habitude du maniement des grandes masses et manque de formation technique : nombre d’officiers supérieurs et de généraux ne savent même pas lire une carte. Les principaux chefs fuient les responsabilités et préféreront se tenir en position défensive, à l’abri des places fortes, que de rechercher le combat en rase campagne, là où von Moltke, qui a étudié les guerres de Napoléon, vise au contraire à détruire l’ennemi en terrain découvert à la suite d’une offensive foudroyante. La situation diplomatique n’est pas plus brillante. En prenant l’initiative de déclarer la guerre, la France s’est placée en position d’agresseur, offrant aux gouvernements des États du sud de l’Allemagne l’occasion de se joindre à la Prusse, poussés d’ailleurs dans ce sens par des opinions publiques résolument gallophobes. Le tsar, qui n’a pas oublié l’intervention de Napoléon III en faveur des Polonais, a promis à Bismarck de mobiliser 100 000 hommes sur la frontière autrichienne si Vienne se risquait à soutenir la France. L’Angleterre se montre d’autant plus déterminée à rester neutre que Bismarck a habilement fait publier dans le Times le projet de traité rédigé en 1866 par Benedetti et où étaient exposés les desseins impériaux sur la Belgique. Restent l’Autriche et l’Italie. Napoléon III semble avoir cru jusqu’au dernier moment que ces deux puissances ne le laisseraient pas affronter seul un État qui, s’il l’emportait, serait en posture de dicter sa loi à toute l’Europe. Mais rien n’a été signé. Le chancelier Beust s’est continûment dérobé devant les propositions françaises d’alliance offensive et défensive. Tout au plus envisage-t-il, si les choses tournent bien pour l’empereur, de s’associer à lui une fois le gros travail accompli. En attendant, François-Joseph se déclare neutre, tout comme Victor-Emmanuel. Le roi d’Italie aurait personnellement souhaité que son pays se joignît à la France. Il entendait ainsi payer la « dette d’honneur » qu’il estimait avoir contractée envers Napoléon III. Mais il n’était suivi dans cette voie que par un petit nombre d’hommes politiques, représentants de la « droite historique », tel le ministre des Affaires étrangères Visconti-Venosta, et par quelques généraux piémontais. La gauche se déclarait ouvertement philo-prussienne et Mazzini menaçait de déclencher une révolution si le gouvernement se montrait disposé à venir en aide à l’empereur. La seule chose qui aurait pu permettre à Victor-Emmanuel et à l’équipe dirigeante italienne d’emporter l’adhésion du camp neutraliste eût été le règlement de la question romaine. Sur ce point, Napoléon III était prêt à jeter du lest, mais il fut retenu de le faire par la fraction de ses partisans — et ils avaient alors le vent en poupe — qui rejetaient toute nouvelle atteinte au pouvoir temporel du pape. Convaincu par Gramont qu’il ne pouvait pas à la fois « défendre son honneur sur le Rhin et le sacrifier sur le Tibre », l’empereur se montra donc intraitable sur Rome, perdant ainsi toute chance de fixer sur son flanc sud une partie de l’armée prussienne. Tous ces handicaps, Napoléon III les connaît au moment où il s’apprête à quitter Saint-Cloud pour Metz. Car il a décidé de prendre le commandement suprême de l’armée. Le précédent italien de 1859, où il n’avait pas manifesté un talent exceptionnel de stratège, et surtout son état de santé auraient dû l’incliner à confier cette charge à plus valide et à plus talentueux que lui. Mais l’enjeu est si important, sa responsabilité personnelle tellement engagée dans l’affaire, qu’il se fait une obligation de prendre en main l’outil dont dépendent la survie du régime et l’honneur de la France. Lors du Conseil qui avait décidé de la guerre, le ministre des Travaux publics Plichon lui avait dit que, si le roi de Prusse pouvait sans dommage perdre plusieurs batailles, l’empereur, lui, parce que la défaite eût aussitôt signifié la révolution, était « condamné à la victoire ». Et puis Eugénie l’a fortement poussé à prendre la tête des armées. Il y va, a-t-elle dit, de son prestige et de celui de la dynastie. Sans doute est-elle sincère, mais surtout, écartée des affaires par Ollivier, et revenue par la grande porte au centre du dispositif décisionnel, elle entend bien s’y maintenir. Non par ambition démesurée, comme on l’a dit, mais parce que, sachant dans quel état de délabrement physique se trouve le souverain, elle se sent suffisamment forte pour assumer la responsabilité d’un pouvoir qu’elle voudrait transmettre intact à son fils. Si Napoléon s’éloigne de Paris, elle redeviendra régente : une fonction qu’elle a déjà remplie à deux reprises — dans des conditions il est vrai moins dramatiques — et qui n’impressionne pas outre mesure cette femme de caractère et de devoir. La Cour est atterrée. Non de voir Eugénie se saisir des rênes du pouvoir, mais d’assister aux préparatifs de départ d’un souverain qui n’est plus que l’ombre de lui-même. « C’est cet homme-là que vous envoyez à la guerre ? a demandé Mathilde à l’impératrice. Dieu veuille que cela vous porte bonheur ! » Et à son cousin : « Vous ne pouvez même pas supporter les trépidations d’une voiture. Comment ferez-vous un jour de bataille ? » Le départ a été fixé au 28 juillet. Le train spécial de six voitures, où ont pris place son état-major et une suite nombreuse, est venu prendre le souverain à la gare privée de Villeneuve-l’Etang, réservée aux visiteurs de marque. Tous ceux qui assistent à la scène sont saisis par la pâleur de son visage, à peine dissimulée par le fond de teint, par l’air d’accablement qui émane de ce corps tourmenté par la maladie et par l’angoisse. Le petit prince accompagne son père à la guerre. Eugénie l’a voulu ainsi, toujours pour les mêmes raisons : le devoir, l’honneur du nom, l’avenir de la dynastie. « Je me dis, écrit l’impératrice à sa mère, qu’il vaut mieux le voir mort que sans honneur. » Bien sûr, nul ne songe à exposer inconsidérément au feu de l’ennemi cet adolescent de quatorze ans, mais la guerre est la guerre... La cérémonie des adieux est émouvante et digne. Avant que Louis prenne place dans le train, la mère et le fils se sont longuement étreints, puis Eugénie s’est approchée de l’empereur et ils se sont embrassés. La guerre est à peine commencée que déjà les deux époux ont fait un pas l’un vers l’autre.

Napoléon n’a pas voulu traverser Paris : crainte d’un accueil défavorable ou pudeur de ne pas avoir à répondre par des saluts et des sourires aux vivats d’une population qu’il a délibérément jetée dans la tourmente ? En arrivant à Metz, épuisé par le voyage, il ne peut que constater la totale incurie qui règne dans l’armée. Aucun plan de bataille n’a été établi. On laisse l’initiative aux Prussiens, qui ne vont pas tarder à lancer une offensive de grand style, et en attendant, on se contente d’une petite opération le 2 août contre Sarrebruck. C’est un succès, mais qu’aucun chef militaire ne songe à exploiter.


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 Sujet du message : Re: La Guerre franco-allemande
Message Publié : 11 Oct 2022 19:14 
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Philippe de Commines
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Localisation : région de Meaux
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Une sortie de 2020 qui m'avait échappé : les auteurs prétendent offrir une nouvelle approche, autour de 2 aspects principaux :
1) la résonance internationale du conflit;
2) l’utilisation des sources du "for privé" pour explorer les acteurs sociaux de l'époque.

Le livre prétend aussi renouveler notre connaissance de l'évènement, fort des travaux historiques menés depuis la parution des synthèses d'Audoin-Rouzeau et Roth...
J'ai acheté le livre ce WE au salon du livre de Blois, affaire à suivre...

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 Sujet du message : Re: La Guerre franco-allemande
Message Publié : 11 Oct 2022 19:19 
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Localisation : Provinces illyriennes
Merci à vous de citer cet ouvrage - je l'avais écarté lors de sa sortie car N. Bourguinat n'est absolument pas spécialiste de cette thématique et de cette période (après un regard différent, moins politique et militaire est toujours intéressant à prendre) - et n'hésitez pas à nous livrer vos impressions lorsque vous l'aurez lu.

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Un peuple sans âme n'est qu'une vaste foule
Alphonse de Lamartine


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 Sujet du message : Re: La Guerre franco-allemande
Message Publié : 12 Oct 2022 11:56 
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Jean Froissart
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Inscription : 23 Déc 2004 18:02
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Localisation : Généralité de Riom & Bourbonnais
une idée du contenu et quelques pages ici
https://www.cairn.info/la-guerre-franco ... 510555.htm

1. Aux origines de la guerre
Prémices du conflit
La question nationale et les soulèvements de 1848
L’Allemagne vue de France
Le malentendu franco-allemand
La France s’échauffe
Été 1870 : le déclenchement de la guerre
Qui occupera le trône d’Espagne ?
L’hypothèse Léopold de Hohenzollern-Sigmaringen
Au cœur de la crise : la dépêche d’Ems
Responsabilités françaises : un aveuglement collectif ?
Les forces en présence
Préparatifs des deux côtés de la frontière
Russie, Angleterre, Autriche et Italie : formation de la Ligue des neutres
Le cas du Danemark
Le gouvernement du Second Empire à l’heure du destin

2. De la guerre du Second Empire à la guerre de la République
Des premiers revers à la catastrophe de Sedan
« La grande boucherie commence »
Premier théâtre des opérations : le nord de l’Alsace et de la Lorraine
Retraite vers l’ouest : Châlons-sur-Marne et Metz
Sedan, 1er septembre 1870
Le retour de « la patrie en danger »
La fin de l’Empire
Une paix impossible
Le Siège de Paris et la naissance de la Délégation de Tours
Le Gouvernement de la Défense nationale à l’épreuve
Les armées se réorganisent
À Metz, Bazaine se rend
Surcroît de patriotisme et poursuite de la guerre
Novembre 1870-janvier 1871 : échecs français à l’ouest, à l’est et au nord
Dans Paris assiégé
Paris contre Bordeaux : les républicains divisés
Les leçons d’une guerre
Une guerre moderne
« Outrecuidants, paresseux et incapables »

3. Vivre en guerre et sous l’occupation
Un pays brisé par l’épreuve
Sous les bombes
Tensions de l’état de siège
La chasse aux espions
Hommes et femmes dans la guerre
« Harcelez l’ennemi sans relâche » : les francs-tireurs
Sur le « front intérieur » : une mobilisation désordonnée
L’effort de l’arrière
Les colonies mobilisées
Vivre sous l’occupation étrangère
Réquisitions et cohabitation
Violences et règne de la terreur
Les conséquences économiques de la guerre
À la frontière nord-est : vers l’annexion

4. Guerre d’opinions
Le règne de la dépêche
Progrès techniques de l’information
L’essor des correspondances de guerre
Au début, l’effervescence
Un élan international
« Le moment est venu » : la France va-t-en-guerre ?
« L’Allemagne est faite »
Désillusions
Stupeur des dirigeants
Au front et à l’arrière
Quelles armes pour la bataille de l’opinion ?
Propagande contre propagande
Rumeurs et désinformation
Les nationalismes à l’épreuve
Nation bismarckienne contre nation napoléonienne ?
Un débat européen
Le succès du modèle allemand

5. Vers la paix
Sous l’armistice
L’onde de choc de la capitulation de Paris
Une « capitulation patriotique » ?
Le scrutin du 8 février : choisir la guerre ou la paix
Le « parti de la paix » triomphe
Négocier la paix : l’accord du 26 février 1871
L’Alsace et la Lorraine : rompre l’« indissoluble pacte »
Versailles, 21 au 26 février : l’entrevue Thiers-Bismarck
Retour devant l’Assemblée
Réactions européennes
Le refus de la défaite, en France et vu d’ailleurs
« Vive la paix ! » : l’Europe soulagée
Le traité de Francfort : l’Europe à l’heure allemande ?
Une affaire européenne ?
Danemark, Espagne et Suisse frappent à la porte des négociations
Francfort, 10 mai 1871 : la paix enfin signée

6. Un retentissement mondial
Une étape de la question nationale
Solidarités et mobilisations
Garibaldi et les autres : le volontariat militaire international
La mobilisation humanitaire
Réputation et intégration des étrangers sur le théâtre de guerre
La défaite des races latines ?
Trouble dans le continent
L’avènement de l’Allemagne impériale
Quel ordre en Europe après guerre ?
La civilisation européenne en question

7. Mémoire du conflit
La guerre de 1870 en représentations : héroïsation, dérision, réalisme
Du témoignage à l’œuvre d’historien
Une imagerie de la guerre renouvelée
Daudet, Zola, Goncourt : les écrivains entre dérision et réalisme
Caricatures et dessins de presse
La volonté de renaître
Surmonter le traumatisme : la chasse aux responsables
Redresser la France
Les formes du souvenir
Hommage aux morts
La revanche : un fantasme ?
À l’école de la IIIe République


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 Sujet du message : Re: La Guerre franco-allemande
Message Publié : 25 Fév 2024 21:54 
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Marc Bloch
Marc Bloch

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Localisation : Versailles
En 1870, nos généraux plaçaient beaucoup d'espoir dans la qualité du fusil Chassepot.

Cette vidéo nous présente cette arme en quelques minutes. Je l'ai trouvée très claire pour un Béotien comme moi !

https://youtu.be/eb6QJ8l8Evw?si=qCtqoX-0app5jcdh


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 Sujet du message : Re: La Guerre franco-allemande
Message Publié : 26 Fév 2024 7:33 
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C'est effectivement la meilleure arme du moment, mais la guerre ne se gagne pas qu'avec des fusils, si bons soient ils.

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