Le lendemain matin, en quittant l'hôtel, je me rends compte que celui-ci jouxtait un cimetière...
Une bonne adresse, ça Justement, la Roumanie est sur ma liste.
Très bon choix ! J'en garde un super souvenir. Et les gens sont adorables.
Mon coup de coeur : Les Maramures (au Nord).
PS : Attention, quand vous dormez chez l'habitant, en arrivant ils sortent d'abord la bouteille (avec de l'alcool fait maison) et vous devez trinquer. Et ensuite on discute.
Ca donne un peu ça :
"Ah c'est pas une boisson de mauviettes !"
_________________ - "Heil Hitler !" - "Heil Myself !"
Le lendemain matin, en quittant l'hôtel, je me rends compte que celui-ci jouxtait un cimetière...
Une bonne adresse, ça Justement, la Roumanie est sur ma liste.
"Quand il eut passé le pont, les fantômes vinrent à sa rencontre"
Célèbre panneau du Nosferatu de Murnau...
Eh, eh...
Allez, encore une anecdote sur la Transylvanie :
Je visite Sighisoara
et notamment le monastère, situé en haut d'une colline. Il pleut terriblement, et je me réfugie à l'entrée. J'en ai marre d'attendre et je décide de m'avancer dans le vieux cimetière, sous les arbres, situé juste en face du monastère. Je viens de passer sous un arbre, et j'entends un ENORME bruit, fracassant quoi ! Une grosse branche est tombée juste après mon passage.
'Faut imaginer le contexte : la Transylvanie, une grosse pluie, l'église, le cimetière et...
_________________ - "Heil Hitler !" - "Heil Myself !"
Une histoire que racontait une de mes grand mères, d'ascendance lorraine "allemande" : dans son village, un homme avait fait le pari d'aller de nuit chercher un trophée à l'autre bout du cimetière. (pari de pochtron, j'imagine ?) Le lendemain matin on le retrouve mort au pied d'une tombe. Aucun de ses copains n'avait osé entreprendre sa recherche dans la nuit. Un détail a permis de comprendre ce qui s'était passé : il portait un large manteau, qui s'était accroché à une croix. On pense que le malheureux a fait une crise cardiaque en se sentant saisi par derrière !
_________________ Les raisonnables ont duré, les passionnés ont vécu. (Chamfort)
Inscription : 21 Sep 2008 17:42 Message(s) : 1219 Localisation : Seine et Marne
"'Aguirre', 'Fitzcarraldo' : les tournages fous de Werner Herzog Werner Herzog et son acteur fétiche Klaus Kinski : une histoire sulfureuse, polémique, sensible…
En grossissant le trait, on pourrait dire qu’il y a deux cinémas. D’un côté, celui du confort des studios : ses décors calibrés, ses journées planifiées et ses effets spéciaux millimétrés. De l’autre, celui du terrain avec la caméra au poing, le réel comme contrainte, l’imprévu comme ressource. Sans trop prendre de risques, on peut placer le réalisateur allemand Werner Herzog dans cette seconde catégorie.
À l’affiche de ces films, on retrouve l’acteur fétiche de Werner Herzog, son compagnon de route, son double à l’écran : Klaus Kinski. La forte personnalité des deux hommes, ombrageuse et passionnée, et leur relation houleuse, à coup de « je t’aime moins non plus », participent largement à la légende de ces tournages. Une légende qu’ils n’ont eu de cesse d’alimenter, à coup d’anecdotes, d’interviews, de films et de livres où se mêlent souvent le vrai et le faux, le réel et l’imaginé. Un duo acteur/réalisateur exceptionnel et mythique.
Emission "Affaires sensibles" sur France-Inter le 29 avril 2015 Présentée par Fabrice Drouelle."
_________________ "L'Angleterre attend que chaque homme fasse son devoir" (message de l'amiral Nelson à Trafalgar)
Une histoire que racontait une de mes grand mères, d'ascendance lorraine "allemande" : dans son village, un homme avait fait le pari d'aller de nuit chercher un trophée à l'autre bout du cimetière. (pari de pochtron, j'imagine ?) Le lendemain matin on le retrouve mort au pied d'une tombe. Aucun de ses copains n'avait osé entreprendre sa recherche dans la nuit. Un détail a permis de comprendre ce qui s'était passé : il portait un large manteau, qui s'était accroché à une croix. On pense que le malheureux a fait une crise cardiaque en se sentant saisi par derrière !
Dans les veillées au village de mon enfance (Moselle de langue allemande, pays de Bitche) on racontait la même histoire, à cette variante près : c'était une jeune femme condamnée à faire pénitence sur la tombe de ses parents qu'elle n'avait pas honorés comme il fallait, qui a dû se rendre au cimetière pour y prier toute la nuit en chemise de pénitente et en portant une croix. En s'agenouillant elle avait planté la croix sur un pan de sa grande chemise, si bien que lorsqu'elle s'est relevée au matin, elle a senti que quelque chose (quelqu'un !!!...) l'agrippait pour l'attirer dans la tombe ; alors... aaaargh...!!! mhuiiiii...!!! couic !
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