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Message Publié : 06 Nov 2021 16:46 
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Jean Froissart
Jean Froissart
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Encore un sujet pas banal mais toujours en anglais chez Helion qui couvre les Armées Françaises de nos Guerres de Religion

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For the first time in English, a comprehensive and profusely illustrated guide to the French armies that fought the Wars of Religion between 1562 and 1598. It covers the major engagements, principal commanders, military structures as well as the fighting men themselves.


• A comprehensive guide to all the contending factions (Royalist, Huguenot and Catholic League) throughout the period
• Profusely illustrated
• Makes available French source material not previously available in English

This book is the only dedicated study available in English that covers all of the armed factions that took part in the Wars of Religion as well as the whole period of these conflicts.

It draws on contemporary French, Spanish and English accounts, as well as the best of more recent scholarship, to provide an account of the Wars and armies that did so much to create the Bourbon monarchy and laid the basis for the Ancien Régime's military machine.

The book contains:

- A summary of the wars and major actions (including maps of the battles of Dreux, Sainct Denys, Jarnac, Moncontour, La Rochelle, Coutras, Arques and Ivry). These maps are all newly-researched and are based on the formations and dispositions actually employed rather than vague indications of relative positions. The maps reveal some interesting insight into the position and extent of some of these battlefields.

- A description of the great military offices of state, their holders and the chain of command. Military biographies of forty-three of the main commanders of the Wars. This section corrects a great deal of misinformation, including sorting out which 'Duc de Monpensier' or 'Seigneur de Hangest' is being referred to in many more general histories. It places some well-known, but purely understood, historical characters (such as Henry 'the Good' of Navarre, Admiral Coligny, 'Scarface' Guise and Henry III's infamous 'mignons') in their proper context.

- A summary of the operation of French armies on the march, in camp, on the battlefield and during a siege.

- Detailed examinations of each of the element of the army: guard units, cavalry, artillery and infantry. Each of these sections includes sections on organisation, equipment and tactics as well as descriptions taken from primary sources and both colour plates and black and white illustrations specifically produced for this work.

- A section on military flags and banners used by the participants, again accompanied by numerous illustrations.

- A glossary of contemporary French military terminology.

- A select bibliography.

It also offers new conclusions on the impact of the Wars on the conduct of warfare throughout Europe during the later 16th and early 17th centuries, highlighting the origins of innovations ascribed to the likes of Maurice of Nassau and Gustavus Adolphus such as smaller, shot-based infantry formations, cavalry tactics and the use of commanded shot to support cavalry.


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Message Publié : 06 Nov 2021 17:41 
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Jean-Pierre Vernant
Jean-Pierre Vernant
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Je cherche des ouvrages traitant de la guerre, des tactiques et des armements dans l'Afrique précoloniale, est-ce que quelqu'un aurait cela ? D'avance merci !

_________________
Scribant reliqua potiores, aetate doctrinisque florentes. quos id, si libuerit, adgressuros, procudere linguas ad maiores moneo stilos. Amm. XXXI, 16, 9.


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Message Publié : 15 Nov 2021 5:44 
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Jean Froissart
Jean Froissart
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...je botte en touche...

en anglais j'ai eu vent de publications concernant le XIXe pré-colonial et résistances africaines aux puissances coloniales
mais je n'ai fait l'achat d'aucun, on peut voir quelques pages ici et là

une série de trois volumes chez Foundry Books sur l'Afrique Orientale, Centrale et "Chevaliers Africains"
https://www.amazon.co.uk/Africa-Imperia ... 1901543099
https://www.wargamesfoundry.com/product ... an-knights
https://www.wargamesfoundry.com/collect ... ral-africa

et deux publications récentes,

la première avec un angle non politico-historiquement correct loin de l'Histoire en blanc méchant et noir opprimé dans l'air du temps sur les Ashantis puissant état trafiquant d'esclaves et les guerres Anglo-Ashantis 1823-1900, initialement progammé chez Helion l'auteur l'a sorti à compte d'auteur
on peut consulter le sommaire et quelques pages ici
https://www.amazon.com/Guns-Gold-Slaves ... B09KCBH23T
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Ashanti Gunmen recherche l'histoire de la Gold Coast principalement du point de vue africain. Les confédérations noires de l'Atlantique qui se sont affrontées étaient des nations fortes, et non de douces victimes des commerçants européens. En fait, leur existence et leur création dépendaient exactement du contrôle réussi de l'esclavage, et pas seulement de sa participation. À cet égard, l'histoire de l'Afrique atlantique du Vieux Monde est souvent plus dure et pragmatique que les histoires du Nouveau Monde, qu'elles soient noires ou blanches, ne l'imaginent.

Il n'est peut-être pas surprenant qu'en Europe, la marée de livres, à l'exception du matériel académique, ne s'est jamais principalement concentrée sur les voix des Africains. La nouvelle littérature telle qu'elle existe aborde généralement la question du point de vue moderne du Nouveau Monde Noir, et non des évaluations objectives incluant les perspectives africaines contemporaines de l'Ancien Monde. La vieille Afrique n'était ni toute victime ni toute innocente. L'histoire de l'Afrique de l'Ouest était complexe. Cela n'a jamais été aussi vrai que dans le cas des Asante, le pays des empereurs dorés et des hordes d'armes à feu qui ont remporté de plus grandes victoires contre la Grande-Bretagne, et pour plus longtemps, que d'autres royaumes africains comme les Zoulous et les Afrikaners.

C'est une histoire de nombreux volets touchant aux routes commerciales arabes, noires et blanches. Cependant, il se concentre principalement sur la machine militaire et les combats des Asante ainsi que sur le réseau de marchands intermédiaires Fante se connectant aux châteaux d'esclaves européens sur la côte.

Il illustre également l'afflux croissant d'ennemis africains alignés contre les hommes de guerre Asante. La forêt tropicale leur appartenait et ils l'ont défendue jusqu'au bout contre les Britanniques, les rivaux africains locaux et les lointains auxiliaires africains de la reine Victoria.
C'est une histoire de tambours de guerre, de poussière d'or, de mousquets commerciaux, de bravoure sauvage, de cruauté impardonnable et de tradition imbattable


l'autre pour un improbable conflit oublié dont personne n'a jamais entendu parler entre l'Ethiopie chrétienne et le Sultanat islamique d'Adal 1529-1543 dans la corne de l'Afrique pré-coloniale (il y'a eu toutefois une aide Portugaise)
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Message Publié : 17 Nov 2021 10:25 
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Jean-Pierre Vernant
Jean-Pierre Vernant
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Localisation : Limoges
Merci pour ces références, c'est bien ce que je cherche. ;)

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Scribant reliqua potiores, aetate doctrinisque florentes. quos id, si libuerit, adgressuros, procudere linguas ad maiores moneo stilos. Amm. XXXI, 16, 9.


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Message Publié : 20 Nov 2021 7:29 
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Jean Froissart
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Sale guerre
L'invasion du Méxique par les Etats-Unis

S’il est une amnésie dans la mémoire, l’histoire et la conscience contemporaine, c’est l’invasion du Mexique par les États-Unis en 1846-1848. Pour les Nord-Américains, elle n’a pratiquement pas existé. Pour les Européens, elle représente un détail. Pourtant l’annexion de plus de la moitié du territoire d’un pays ne saurait être anecdotique. Et d’autant plus que cette annexion a annoncé toutes les sales guerres du XXe siècle.

Pour la première fois, Éric Taladoire, spécialiste du Mexique, décrit la disproportion des forces, les atrocités commises, le racisme à l’oeuvre, la politique de superpuissance mise en acte. Le tableau inédit qui en ressort vient écorner le roman national d’une Amérique patrie de la liberté et de la démocratie. C’est là toute la raison de notre méconnaissance totale de ce conflit prototypique.

Grâce à une documentation exigeante qui démolit les fausses évidences sur cette guerre abominable et qui éclaire ses conséquences encore aujourd’hui prégnantes de part et d’autre du Rio Grande, ce livre constituera l’ouvrage de référence sur la guerre du Mexique. Tout en offrant un aperçu salutaire sur la face obscure des USA.



Historien, archéologue, professeur émérite à l’université de Paris-1 Panthéon-Sorbonne, Éric Taladoire est correspondant étranger de l’Académie mexicaine et directeur de collection aux British Archaeological Reports. Son livre L’Aventure maya a été distingué par le Prix Lantier de l’Académie des Inscriptions et Belles Lettres.


Aperçu
https://www.google.fr/books/edition/Sal ... frontcover


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Message Publié : 25 Nov 2021 23:11 
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Grégoire de Tours
Grégoire de Tours

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Loïc a écrit :
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Sale guerre
L'invasion du Méxique par les Etats-Unis

S’il est une amnésie dans la mémoire, l’histoire et la conscience contemporaine, c’est l’invasion du Mexique par les États-Unis en 1846-1848. Pour les Nord-Américains, elle n’a pratiquement pas existé. Pour les Européens, elle représente un détail. Pourtant l’annexion de plus de la moitié du territoire d’un pays ne saurait être anecdotique. Et d’autant plus que cette annexion a annoncé toutes les sales guerres du XXe siècle.

Pour la première fois, Éric Taladoire, spécialiste du Mexique, décrit la disproportion des forces, les atrocités commises, le racisme à l’oeuvre, la politique de superpuissance mise en acte. Le tableau inédit qui en ressort vient écorner le roman national d’une Amérique patrie de la liberté et de la démocratie. C’est là toute la raison de notre méconnaissance totale de ce conflit prototypique.

Grâce à une documentation exigeante qui démolit les fausses évidences sur cette guerre abominable et qui éclaire ses conséquences encore aujourd’hui prégnantes de part et d’autre du Rio Grande, ce livre constituera l’ouvrage de référence sur la guerre du Mexique. Tout en offrant un aperçu salutaire sur la face obscure des USA.



Historien, archéologue, professeur émérite à l’université de Paris-1 Panthéon-Sorbonne, Éric Taladoire est correspondant étranger de l’Académie mexicaine et directeur de collection aux British Archaeological Reports. Son livre L’Aventure maya a été distingué par le Prix Lantier de l’Académie des Inscriptions et Belles Lettres.


Aperçu
https://www.google.fr/books/edition/Sal ... frontcover


Sujet intéressant, mais le titre, et certains termes employés dans cette présentation, font penser à une histoire "à charge"...


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Message Publié : 26 Nov 2021 9:00 
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Pierre de L'Estoile
Pierre de L'Estoile

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J'y vois en filigrane 20 ans après l'Expédition du Mexique par Napoléon III influencé par Eugénie
Désastre militaire et diplomatique mais immortel chant militaire dans nos annales

Eugénie les larmes aux yeux 
Nous venons te dire adieu 
Nous partons de bon matin
Par un ciel des plus sereins 
Nous partons pour le Mexique
Nous partons la voile au vent
Adieu donc belle Eugénie
Nous reviendrons dans un an

_________________
il pleuvait, en cette Nuit de Noël 1914, où les Rois Mages apportaient des Minenwerfer


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Message Publié : 22 Oct 2022 21:31 
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Jean Froissart
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Aux Editions Pierre de Taillac...

La Grande Armée - Analyse d'une machine de guerre

https://editionspierredetaillac.com/pro ... GEbDgKKlJU

Après 20 ans de recherche... Découvrez la première analyse systémique de la Grande Armée
Fruit de vingt années de travail, cet ouvrage analyse de façon systémique la Grande Armée : la première partie décrit de façon détaillée l'outil militaire organisé pour mettre en œuvre les principes d'action retenus par lʼEmpereur aux niveaux opératif et tactique. L'étude va des structures de commandement aux unités élémentaires, en passant par les pions de manœuvre (corps d'armée et divisions) et les éléments spécialisés (réserve de cavalerie, grand parc). La seconde partie est composée de fiches thématiques (effets du feu, organisation des différentes armes, logistique, organigrammes...) mêlant paragraphes de synthèse et données chiffrées détaillées. Un effort particulier de présentation des logiques d'interdépendance et de cohérence entre les diverses entités composant la Grande Armée permet d'offrir une sorte de manuel des forces napoléoniennes. Volontairement accessible aux profanes de la chose militaire, l'ouvrage vise à combler un vide des études historiques en ce domaine.

Agrégé et docteur en histoire, Jean-François Brun est enseignant-chercheur à l'université de Saint-Étienne où il a notamment exercé les fonctions de directeur du département d'histoire, de directeur d'un laboratoire de recherche lié au CNRS puis de doyen de la faculté des Sciences Humaines et Sociales. Colonel de réserve, auditeur de lʼIHEDN, il a participé à plusieurs OPEX dans les Balkans. Spécialiste d'histoire militaire, ses travaux portent plus spécialement sur l'organisation des armées en tant que système et sur l'évolution des armements. Ils ont fait l'objet de publications sous forme de livres, de chapitres dans des ouvrages collectifs ou d'articles dans des revues spécialisées.


Auteur : Jean-François Brun
Couverture : cartonnée
Nombre de pages : 572
Format : 21 x 27 cm


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Message Publié : 12 Nov 2022 16:45 
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Jean Froissart
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toujours du Napoléonien mais chez l'Editeur Normand Heimdal plutôt 2e Guerre Moyen Age où la production sur cette période après un petit engouement qui est bien retombé la réduite comme une peau de chagrin à un volume annuel dans tous les sens du terme puisque après "1799" fatalement se profile
1800
De Marengo à Hohenlinden, ultime année d’un siècle de sang

https://www.editions-heimdal.fr/fr/sous ... 85865.html

extrait de 47 pages
https://fr.calameo.com/read/00543255722 ... cf8?page=1

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Message Publié : 12 Nov 2022 18:07 
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"L'ultime année d'un siècle de sang" me parait un sous-titre exagéré. Le 18e siècle ne me semble pas avoir été spécialement rempli de flots de sang pour la France, surtout si on considère les deux précédents, qui ont conjugué guerre extérieure et guerre civile. (A moins de terminer le 18e siècle en 1815, pour clore une période...)

_________________
Les raisonnables ont duré, les passionnés ont vécu. (Chamfort)


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Message Publié : 22 Mars 2023 22:41 
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Jean Froissart
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Bruno Mugnai continue sa série sur les Armées Européennes du XVIIe siècle chez l'éditeur britannique Helion
c'est sa patrie alors divisée en plusieurs Etats qui passe à son examen et pour l'occasion, il en avait tellement à partager que le volume se dédouble
Wars and Soldiers in the Early Reign of Louis XIV
Volume 6 - Armies of the Italian States 1660-1690

Part 1 - Savoie-Piémont et Venise
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C'était un lieu commun que l'Italie offrait peu d'intérêt aux historiens militaires après le plein épanouissement de la Renaissance, et qu'il avait été justement oublié. Le Risorgimento italien voulait désespérément renier les valeurs des siècles précédents. Au lieu d'un ensemble politiquement fragmenté et militairement faible de petits États, sous l'emprise du catholicisme de la Contre-Réforme, les historiens du XIXe siècle rêvaient d'un pays uni, laïc, industriel et bien armé qui pourrait résister à la comparaison avec la France, l'Angleterre et l'Allemagne. . Le désintérêt pour cette période s'est encore accru sous le régime fasciste, qui a préféré échapper à une période où les États italiens apparaissaient comme des entités politiques dominées par l'ingérence étrangère et se concentrant sur le mythe impérial irréel retravaillé à partir des vestiges des monuments de la Rome antique. .

Cependant, au XVIIe siècle, l'Italie était le troisième pays d'Europe par sa population, après la France et l'Allemagne, passant en deuxième position pendant un siècle après 1650. Le nord comme le sud de l'Italie constituaient une place clé dans le duel stratégique entre l'Espagne et l'Allemagne. La France et la Péninsule étaient en première ligne dans la lutte contre l'Empire ottoman. De plus, les États italiens constituaient de bons exemples de machines de gouvernance assez efficaces, qui développaient de nombreux sujets, y compris le «militaire». Certains de ces États ont connu de longues périodes de guerres, au point que l'affirmation concernant des élites sociales progressivement démilitarisées dans une mesure inégalée ailleurs en Europe devrait être considérée comme caduque.

Cette première partie du volume 6 place la politique et l'armée italiennes dans le contexte européen plus large et examine les armées de Savoie-Piémont et de la République de Venise.



Part 2 Gênes, Etats Pontificaux, Toscane, Parme, Modène, Mantoue, Lucques...
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Au XVIIe siècle, l'Italie était le troisième pays d'Europe par sa population, après la France et l'Allemagne, passant en deuxième position pendant un siècle après 1650. Le nord comme le sud de l'Italie constituaient une place clé dans le duel stratégique entre l'Espagne et la France. , et la Péninsule était en première ligne dans la lutte contre l'Empire ottoman. De plus, les États italiens constituaient de bons exemples de machines de gouvernance assez efficaces, qui développaient de nombreux sujets, y compris le «militaire». Certains de ces États ont connu de longues périodes de guerres, au point que l'affirmation concernant des élites sociales progressivement démilitarisées dans une mesure inégalée ailleurs en Europe devrait être considérée comme caduque.

Ce deuxième volume se penche sur les armées des petits États italiens. Les armées de Gênes, des États pontificaux, de la Toscane, de Parme, de Moderna, de Mantoue, de Lucques et de bien d'autres sont toutes examinées en détail jamais vues auparavant en anglais. Ce volume traite également de la nature et de l'exécution des affaires militaires et de la guerre en Italie. Le livre est richement illustré et est accompagné de 16 planches en couleur spécialement commandées par l'auteur lui-même.


sinon comme d'habitude des titres exotiques et beaucoup d'éclectisme à venir chez cet éditeur, un autre René Chartrand...
https://www.helion.co.uk/forthcoming-mi ... 0831baf7c9
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Dès le début du XVIIe siècle, une multitude de compagnies Françaises des Indes orientales ou occidentales détenant des monopoles et des privilèges commerciaux outre-mer étaient actives dans diverses parties du monde, notamment en Afrique et en Asie. A partir de 1719, ils furent réunis en une seule et vaste Compagnie des Indes connue dans le monde anglophone sous le nom de Compagnie Française des Indes Orientales. C'était bien plus que cela, car ses privilèges commerciaux couvraient aussi l'Afrique, d'autres endroits en Asie. de l'Arabie à la Chine et à l'Amérique du Nord.

Outre une multitude de pavillons commerciaux et de factories généralement modestement fortifiés, ces sociétés étaient le gouvernement réel représentant le Royaume de France sur des parties importantes de l'Afrique, de l'Inde et des îles de l'océan Indien ainsi que de la Louisiane en Amérique de 1716 à 1731. Les bénéfices étaient attendus. pour couvrir les opérations gouvernementales. Les entreprises avaient le pouvoir de «faire la guerre» là où elles opéraient et, par conséquent, des conflits militaires du secteur privé se produisaient souvent. Ils ont donc maintenu leurs propres armées et marines privées totalement indépendantes de celles du roi de France.

Ces troupes privées étaient généralement très modestes jusqu'à la formation de la Compagnie des Indes en 1719. Par la suite, alors que la compagnie française se développait et s'impliquait dans la politique de l'Empire Moghol en ruine en Inde, en particulier sous le règne du visionnaire impérial Dupleix, le nombre assez modeste de soldats européens a été considérablement élargi en enrôlant plusieurs milliers de soldats indiens qui ont reçu une formation européenne, des armes et parfois des uniformes. C'est lors de la bataille d'Aydar en 1746 que les soldats et cipayes français de la Compagnie des Indes ont complètement vaincu une armée princière indienne beaucoup plus importante, de sorte que la domination d'une nation européenne en Inde était assurée. Après un dur combat, cependant, cette nation serait la Grande-Bretagne grâce au soutien bon et efficace de son gouvernement par rapport au désintérêt français pour les affaires d'outre-mer à la fin des années 1750. Pondichéry tomba en 1761 comme le Sénégal en Afrique trois ans plus tôt. La Compagnie des Indes, cependant, a continué pendant une autre décennie jusqu'à ce qu'elle ferme ses livres en 1770.

Les compagnies monopolistes disposaient d'une grande variété de troupes postées dans de nombreux endroits. Le port de Lorient en France était, à partir de la fin du XVIIe siècle, le dépôt et le centre d'entraînement des troupes européennes. Certains ont servi comme marins sur les navires de la compagnie, d'autres dans une multitude de forts et de loges sur trois continents. Leur recrutement et leur commandement sont décrits. En Inde, leur rôle tactique se multiplie et conduit à avoir des unités de canonniers, grenadiers à cheval, dragons, hussards, grenadiers, tous avec des uniformes bien distincts. Il y avait des unités de cipayes, de topas et de cafres ainsi que des armées princières alliées auxiliaires en Inde et des soldats auxiliaires entraînés en Afrique. Les quelques soldats de l'armée royale envoyés en Inde à la fin des années 1750 sont également pris en compte. Toutes les troupes de l'armée indienne, africaine et métropolitaine sont couvertes et décrites dans cette étude entièrement illustrée.

_________________
"A moi Auvergne"


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Message Publié : 06 Août 2023 0:24 
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Jean Froissart
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La mode est à faire chez Passés Composés après Perrin des volumes Infographies de... en voici deux autres pour août et octobre

Infographie des Guerres Franco-Allemandes 1870-1945
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3 guerres, 75 ans de rivalités, deux guerres mondiales, des dizaines de millions de morts et 80 ans de paix en Europe continentale : le musée Guerre et Paix, en Ardennes, est le seul qui permette aux visiteurs de comprendre cet enchainement et ses conséquences. Marie-France Devouge - ancienne directrice et conceptrice du parcours muséal - et Stéphane André - directeur Éducation Culture du département des Ardennes et ancien directeur du musée - se sont associés à Julien Peltier pour mettre en infographies ces 75 ans d'histoire. Cartes, silhouettes de soldats et de matériel militaire, données économiques, démographiques et culturelles - toujours mis en scène par les infographies vivantes et ludiques de Julien Peltier, offrent un panorama complet des sociétés françaises et allemandes. Elles sont accompagnées de textes accessibles à tous qui allient récits et rigueur historique. Leur enchainement donne à comprendre aussi bien la défaite française en 1870 que le déroulement de la Grande Guerre, la victoire des alliés sur l'Allemagne nazie que l'évolution de la société française du Second Empire à la Troisième République, l'importance de la colonisation que la définition d'un régime totalitaire, l'évolution des fusils que le déroulement des bombardements stratégiques.


Infographie de l'Empire Napoléonien
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Il y a plusieurs manières d'aborder un sujet aussi complexe que le Premier Empire : considérer qu'il s'agit de l'aventure personnelle, enivrante mais vouée à l'échec d'un seul homme, ou bien le traiter sous l'angle d'une histoire plus ample, celle d'un monde en transition. Les auteurs de cette infographie n'ont pas voulu se concentrer sur l'une ou l'autre option : Napoléon est bien au centre des institutions qu'il a contribué à créer. Il est également le cerveau d'une machine de guerre que rien ne semble pouvoir arrêter. Néanmoins, il était indispensable de dépasser sa seule figure pour mieux mettre en valeur les enjeux qui attendaient la France après dix années de Révolution, prise dans un conflit long contre sa rivale britannique et dont la politique devait s'adapter à un espace en perpétuelle expansion au nom de la théorie des « frontières naturelles ». L'Empire français et ses caractéristiques, la Grande Armée et ses ennemis, les victoires et la chute, enfin l'héritage et l'empreinte laissés par Napoléon sont autant de thèmes qu'une représentation aussi rigoureuse qu'originale espère contribuer à mettre en lumière.


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Message Publié : 22 Oct 2023 17:20 
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Jean Froissart
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Pour ce dernier titre Infographie de l'Empire Napoléonien, à voir ici
https://www.lepoint.fr/livres/infograph ... 010_37.php

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Premier d'une série de 8 volumes à paraître pour 2023-2025 par Paul Lindsay Dawson après plus de deux décennies d'investigations en Archives qui revisite la vision convenue de l'uniformologie de l'Armée Française de 1789-1815

c'est la Cavalerie Légère qui doit ouvrir la marche fin novembre 2023
Volume 2 Carabiniers & Cuirassiers pour janvier 2024
Volume 3 Dragons & Chevau-légers Lanciers vers l'été 2024

puis viendra l'Infanterie et les autres armes en 2024 voire 2025 comme suit
Volume 4 Light Infantry, National Guard-134e-156e de Ligne and Support Troops
Volume 5 Line Infantry 1806-1812
Volume 6 Line Infantry 1812-1815
Volume 7 French Army of the Revolution and Marengo
Volume 8 French Army of Austerlitz


Ce sera la revue la plus complète de la cavalerie de Napoléon jamais compilée. Sur la base de milliers de documents d'archives conservés dans trois archives parisiennes, l'uniforme et l'équipement de chaque régiment de cavalerie seront décrits. Basé sur plus d'une décennie de recherche d'archives, l'étude des vêtements et équipements existants dans les musées et les collections privées, ainsi que des œuvres d'art d'époque, pour la première fois, le guide définitif de ce que portait l'arme montée durant le 1er Empire sera présenté. Chaque régiment de cavalerie et autres obscures unités à cheval, auront des reconstructions uniformes pour les trompettes, la compagnie d'élite, la compagnie du centre et d'autres spécialistes. Plus de 200 œuvres d'art originales seront également reproduites dans un somptueux livre cartonné en couleur. Nous sommes redevables à Jose Luis Canibe d'avoir pris la tâche d'illustrer chaque régiment de l'armée française, plus de 300 unités !
Ce sera le guide « de facto » de ce que portait réellement l'arme montée, et répondra une fois pour toutes à la question « La réglementation Bardin a-t-elle existé ?

Mon prochain livre sur la cavalerie présentera l'uniforme de chaque régiment de cavalerie à partir de sources d'archives, étayé par une iconographie fiable. Une bonne partie des travaux de Rousselot, Bucquoy et autres se révéleront hélas faux. Ainsi que de nouvelles découvertes faites, tel les sapeurs du 12e Chasseurs pendant la Guerre d'Espagne
90 % des régiments de chasseurs à cheval étaient également dépourvus de sapeurs, comme les régiments d'infanterie. Malgré ce que les artistes montrent, une seule unité de Hussards a eu des sapeurs, mais parce que ces uniformes sont présentés dans de nombreux livres, ils "doivent être vrais". Malheureusement, beaucoup d'uniformes "bien-aimés" sont de la fiction, comme nous l'avons démontré pour les carabiniers.

Il s'agit du premier des 8 livres de la série couvrant l'intégralité de l'armée française de 1789 à 1815. Deux décennies de travail pour en arriver là, et plus de 1 000 boîtes d'archives. Personne n’a jamais étudié la tenue et l’équipement d’une armée nationale sur une période de 25 ans jusqu’au niveau de la compagnie. Un énorme investissement de ma part en argent et en temps qui, je l'espère, en vaut la peine.

Paul Lindsay Dawson


en précommande chez l'Editeur Pen & Sword
https://www.pen-and-sword.co.uk/Napoleo ... ck/p/24302

une trentaine de pages partagées sur googlebooks en aperçu avant-première comme "teasing" de l'auteur
https://books.google.fr/books?id=qKzYEA ... e&q&f=true
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par exemple on découvre le 21e Chasseurs à cheval vêtu en habits d'infanterie de ligne au lieu de ses habits réglementaires vert-chasseurs
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Des hommes petits, avec un grand ego et des moustaches, les hussards de l’armée de Napoléon portaient certains des uniformes les plus flamboyants et élégants de l’époque. Dans ce livre, les uniformes des 17 régiments de hussards sont discutés en détail par le célèbre historien Paul L. Dawson, ainsi que la tenue vestimentaire de leurs frères des 32 régiments de chasseurs à cheval, en mettant l'accent sur la tenue vestimentaire très élaborée des trompettes.

Ayant eu accès à plus de 1 000 boîtes d'archives, conservées au Service Historique de l'Armée de Terre à Paris et aux Archives Nationales, l'auteur est en mesure d'évaluer comment les nombreux règlements uniformes de 1806 et les plus célèbres règlements Bardin ont été adoptés en pratique. Cette vaste ressource, encore inexploitée par la majorité des chercheurs et des historiens pour comprendre l’époque napoléonienne en général, apporte des détails jamais révélés au grand public.

Cela est possible parce que chaque année, un régiment serait inspecté et l'état de ses uniformes évalué. Un retour de tous les vêtements à éliminer a été effectué et le nombre approprié de nouveaux articles a été commandé. Les vêtements et équipements nécessitant une réparation ont également été enregistrés, ainsi que le nombre de pièces réparées depuis la dernière inspection. Lorsqu'elle rejoignait un régiment, la recrue recevait son premier ensemble complet de vêtements et d'équipement, provenant d'arrêts de solde. Chaque vêtement avait une durée de vie déterminée – une bonnet d'ourson devait par exemple durer vingt ans. Si les articles devaient être réparés ou remplacés dans le délai prescrit en raison d'une mauvaise utilisation, le coût était à la charge du soldat. Tout cela a été enregistré.

Ces sources inestimables fournissent des données empiriques sans biais à partir desquelles nous pouvons reconstituer l’histoire de la vie d’un régiment, de ses officiers et surtout de ses vêtements et équipements. En plus des documents officiels, l'auteur a construit la façon dont les régiments étaient habillés à partir de journaux intimes, de lettres et même de cas de fraude.

En plus de fournir les détails enregistrés, ce livre montre, dans de nombreuses belles illustrations, exactement comment chaque régiment apparaissait. Ces images comprennent des peintures d'époque ainsi que des œuvres spécialement commandées pour ce livre, ainsi que des photographies uniques d'éléments d'uniforme existants. Aujourd’hui, pour la première fois depuis l’époque de Napoléon, nous pouvons dire exactement ce que portait la cavalerie légère de Napoléon.


à suivre les Carabiniers et Cuirassiers en janvier 2024...


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Message Publié : 29 Oct 2023 16:29 
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Jean Froissart
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Ouvrage qui semble fort intéressant pour les Napoléoniens
Vivre la Grande Armée - Être soldat au temps de Napoléon
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En quinze ans, la Grande Armée napoléonienne, machine de guerre inégalée, remporta davantage de victoires que n’importe quelle autre armée avant ou après elle. Austerlitz, Iéna, la Moskowa, Leipzig ou Waterloo ont déjà fait couler beaucoup d’encre, mais ces batailles sont souvent analysées du point de vue de la stratégie et de la tactique.
Or les guerres napoléoniennes furent avant tout une histoire humaine. Pour la seule France, près de 2 300 000 hommes connurent l’angoisse de l’attente et du départ, la traversée du continent de part en part, les affres de la vie en campagne et le chaos de la bataille. Enthousiaste ou résigné, déserteur ou héros, chacun y réagit selon son histoire personnelle. Pendant 15 ans, ces soldats furent les acteurs, centraux mais anonymes, d’une grande loterie humaine dont beaucoup ne revinrent pas. Ils tinrent souvent des cahiers où ils notaient chaque jour les détails des péripéties extraordinaires qu’ils traversaient et, dès le lendemain de la geste impériale, ils furent nombreux à relater leurs aventures militaires. Les sources sont donc abondantes, et contrastent avec le silence des périodes antérieures où la parole des soldats est si rare.
Une histoire à hauteur d’homme, depuis le recrutement et l’abandon de la famille au difficile retour à la vie civile, en passant par l’instruction et l’entraînement, la fraternité et la solidarité, l’importance de la correspondance et des liens maintenus, le rôle central de l’amour, les blessures et traumatismes.


François Houdecek a été l’éditeur de la Correspondance générale de Napoléon. Il est spécialiste des questions militaires et sociales sous l’Empire. Auteur de plusieurs recueils de lettres de soldats, il a récemment édité les Cahiers de Sainte-Hélène du général Bertrand (1820-1821) (2021).


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le premier chapitre Du citoyen au soldat consultable sur amazon
https://www.amazon.fr/Vivre-Grande-Arm% ... filtered=1

la violence mal vécue de la Conscription exercée sur certains qui extrait le conscrit de son environnement local et familial et les poussait à l'aliénation voire au suicide
des conscrits parcourant des centaines de km pour rejoindre leur dépôt, sous escorte, en groupe...ou pas...livrés à eux-mêmes voire seul...
le départ des conscrits qui équivalait dans les villages à des adieux et des enterrements

Claude Salmon parti remplaçant au 23e de ligne en 1801 déserta par deux fois et fut condamné à 10 ans de fer à Bayonne
recruté alors qu'il était encore au bagne pour faire campagne au Portugal avec Junot, Salmon fut fait prisonnier par les Espagnols chez qui il prit du service avant de déserter pour rejoindre l'Armée Française, capturé à nouveau par les Britanniques il fut emmené captif en Angleterre mais prit dans l'Armée Britannique il fut débarqué en Calabre en 1813 et fit campagne jusqu'en 1814
(...)
274 Morbihanais et 56 autres conscrits affectés au 106e de ligne partirent de Vannes et arrivèrent au dépôt du régiment à Padoue après deux mois et huit jours de marche et 450 lieues
les conscrits de l'Ariège affectés à Wissembourg au 40e de ligne à 1000 km et 60 jours d'étapes


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Message Publié : 05 Nov 2023 14:05 
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Jean Froissart
Jean Froissart
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Localisation : Généralité de Riom & Bourbonnais
Deux publications qui sortent sur un corps emblématique de l'Armée Française ayant acquis une certaine postérité y compris au delà de nos frontières symbole du panache à la française, plus de 200 ans après sa dissolution...
...merci Alexandre Dumas...

Les mousquetaires du roi: Une troupe d’élite au cœur du pouvoir
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D’Artagnan et les Mousquetaires du roi ont bel et bien existé. Entrés dans la légende par la plume d’Alexandre Dumas, les vrais Mousquetaires n’avaient rien à envier à leurs homologues littéraires.

À la fois membres de la garde du roi, unité d’élite, police politique et école militaire pour la noblesse, les Mousquetaires du roi furent créés par Louis XIII en 1622, connurent leur âge d’or sous Louis XIV et ne furent définitivement supprimés qu’en 1815. Ils participèrent tant aux campagnes militaires qu’aux affaires personnelles du roi, du siège de La Rochelle à l’arrestation de Fouquet et de la guerre de Hollande à la conspiration de Cinq-Mars. Les aventures des Mousquetaires traversent la France moderne, dévoilent les coulisses de la monarchie, les arcanes des grandes décisions politiques, l’intimité des rois, la fureur et la fumée des champs de bataille du Grand Siècle.

En se fondant sur des sources inédites, Julien Wilmart analyse les hauts faits de ces hommes et nous offre la première grande synthèse de l’histoire de ce corps devenu légendaire.
Julien Wilmart est docteur en histoire (Sorbonne-UCL). Auteur d’une thèse remarquée sur les Mousquetaires du roi, il consacre ses recherches à l’histoire politique et militaire de l’Ancien Régime. Il est également conseiller scientifique pour le cinéma (Les Trois Mousquetaires, 2023)...

sommaire et plusieurs pages
https://www.amazon.fr/mousquetaires-roi ... =1&depth=1


D'Artagnan et les mousquetaires du roi. Aux sources du mythe
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https://www.servicehistorique.sga.defen ... s-du-mythe

sommaire
https://www.servicehistorique.sga.defen ... tagnan.pdf

D’Artagnan et les mousquetaires occupent une place à part dans la culture populaire. Ils ont acquis le statut de mythe planétaire grâce au génie littéraire d’Alexandre Dumas et aux innombrables adaptations, notamment cinématographiques, des Trois Mousquetaires.
Si leurs aventures doivent beaucoup à l’imagination et à la plume d’Alexandre Dumas, d’Artagnan, Athos, Porthos et Aramis sont inspirés d’hommes ayant réellement existé et dont les archives gardent la trace.
C’est à l’histoire du véritable d’Artagnan et à celle des mousquetaires du roi – de leur création en 1622 à leur première suppression en 1775 puis à leur disparition défi nitive en 1815 – qu’est consacré le présent ouvrage. Il retrace le parcours de Charles de Batz de Castelmore, comte d’Artagnan, jeune cadet de Gascogne devenu homme de confiance du cardinal Mazarin puis de Louis XIV, qui trouva la mort en 1673 au cours du siège de Maastricht.
Il remet également en contexte l’évolution du corps des mousquetaires du roi et analyse leur rôle au combat, particulièrement lors des sièges, au cours des assauts où ces soldats d’élite étaient l’image et l’instrument par excellence de la violence martiale du roi de guerre. Ce livre richement illustré invite ainsi à redécouvrir la vie de ces hommes dont les péripéties n’ont rien à envier à celles traversées par leurs doubles de fiction.


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