* Paul Ryckier:
Profeciat voor uw franztalig geschrijft!
En fait, je suis vieille...catégorie "jeune 3ème âge" en principe "dynamique.
(passé 60 ans, quoi...)
La situation belge décrite par Hughes de Hador est celle de la partie "wallonne" du pays. (restons belges, tout de même... patrie du sur-réalisme perpétuel
Accessoirement, il est plus jeune que moi.
Mes "gnomes" ont été dans l'enseignement bruxellois francophone: les méthodes d'apprentissage du néerlandais n'étaient pas plus "performantes" que de mon temps.
Sinon, nous avons aussi une partie germanophone, en Belgique, qu'on a tendance à oublier, mais bel et bien existante, rattachée, je suppose parce que elle en a décidé ainsi, à la région francophone.
Ce sont ce que ma grand-mère (Aix-la Chapelle) nommait les "cantons rédimés": Malmédy, Eupen, Monjoie, etc..
Par contre, j'ignore si c'est un allemand "rédimé" ou l'allemand "normal".
Il faut reconnaître, aussi, en Belgique, que la partie est du pays, historiquement et depuis Charlemagne, a été plus orientée vers la Germanie, en tout cas niveau commerce.
Situation Grand Duché de Luxembourg: ils parlent en luxembourgeois (une forme de bas allemand), journaux en luxembourgeois, MAIS ils apprennent l'allemand (ou du moins l'apprenaient) et/ou le français. Ils ajoutent l'anglais en plus.
Il est vrai que le pays est petit, donc, en tout cas avec la Belgique, il existe des accords entre pays pour que les étudiants luxembourgeois puissent poursuivre certaines études supérieures chez nous, du moins à Bruxelles et Wallonie.
Cela n'empêche aucunement un sentiment d'identité bien ancré, chez eux. Le sud de la Belgique, province de Luxembourg: ils se disent "luxembourgeois" avant tout.
Il y a pas mal de recettes de cuisine et certains vins aux plantes communs (Maitrank) au Grand Duché.
Est-ce que l'identité "nationale" ne passerait QUE par la langue utilisée, ou y aurait-il (aussi) d'autres "marqueurs" d'identité?
mais du moyen-allemand.