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Message Publié : 10 Juin 2006 16:05 
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Polybe
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Inscription : 03 Mai 2006 12:33
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Localisation : Savoie
Avec l'engouement actuel pour Marie Antoinette et sa famille (un exemple parmis d'autres...), une question me vient à l'esprit: la France ne serait elle pas nostalgique de son passé monarchique ?

En effet, depuis l'exécution de Louis XVI, jusqu'à nos jours, on a l'impression d'un "je t'aime moi non plus"permanent entre le peuple et l'idée de monarchie, une sorte d'attirance/répulsion.
Le XIX° n' été qu'une alternance entre monarchies (1815-1848, 1851-1871, tentative quasi réussie de 1871...) et républiques, jusqu'à la V° république dont la forme rappelle beaucoup une monarchie constitutionelle...à laquelle personne ne se résout à mettre un point final (mais c'est un autre débat).
Comme si les Français étaient finalement attachés à ce mode de gouvernement, le gros problème étant qu'il n'y a plus de famille royale en France (les Orléans sont peu crédibles, les Bourbons ont disparus avec le comte de Chambord et les Bonapartes sont inexistants médiatiquement et politiquement).
Une France condamnée à être républicaine en quelque sorte.

Qu'en pensez vous ?


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 Sujet du message : Monarchie
Message Publié : 10 Juin 2006 16:13 
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Eginhard
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Comme vous êtes lucide ! Pourquoi Louis a-t-il trahi le 20 juin 1791, mettant dans la poisse les français pour l'éternité ! Tout se serait passé si calmement. :cry: Elle est curieuse cette révolution qui nous poursuit au fil des générations. Il faut dire qu'elle changea la face du Monde.


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Message Publié : 10 Juin 2006 16:14 
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Inscription : 27 Avr 2004 17:38
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Localisation : Région Parisienne
Bof, après les avatars des régimes d'assemblées (IIIème et IV ème), un régime présidentiel a paru nécessaire pour en finir avec le régime des partis.

Qualifie t'on le régime présidentiel des EU de monarchique parce que le président a beaucoup de pouvoirs ? Non, bien sur.

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Il n'est pas nécessaire d'espérer pour entreprendre, ni de réussir pour persévérer (Guillaume le Taciturne)


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Message Publié : 10 Juin 2006 16:53 
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Polybe
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Inscription : 03 Mai 2006 12:33
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Localisation : Savoie
Citer :
Qualifie t'on le régime présidentiel des EU de monarchique parce que le président a beaucoup de pouvoirs ? Non, bien sur.


peut être, mais les deux pays ne sont absolument pas comparables...
De plus, il n'y a qu'a voir le culte qu'entretient le France autour de monument comme Versailles et autres lieux monarchiques. Le chef de l'Etat est un symbole fort (en théorie), ce qui est loin d'être le cas dans tous les pays d'europe.
Ce qui a fait quasiment disparaitre les partis monarchiques, c'est l'absence de prétendants après la mort d'Henri V et du fils de Napoléon III, s'ils avait eu une descendance, la politique Française aurait un tout autre visage, et il n'y aurait pas cette espèce de frustration envers la monarchie qui serait resté une alternative crédible.
Je pense que d'autres pays Européens ressentent le même problème, comme l'Autriche par exemple ou la Russie.


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Message Publié : 10 Juin 2006 17:00 
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Inscription : 27 Avr 2004 17:38
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Localisation : Région Parisienne
Il se peut, mais nous tombons là dans le jeu du "si ma tante en avait", qui est non historique par essence. Ce qui est évident, c'est que De Gaulle a voulu un pouvoir présidentiel fort, pour éviter les errements de 1940 et 1958, or, il connaissait fort bien l'histoire, son père était monarchiste et les influences maurassiennes sont évidentes.

Ceci explique cela.

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Message Publié : 10 Juin 2006 17:42 
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Eginhard
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Inscription : 09 Mai 2006 21:43
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Et si De Gaulle respectait énormément le Comte de Paris, il n'a jamais souhaité qu'il lui succède.

Extrait d'une conversation avec Alain Peyrefitte, 13 juin 1963 :

Citer :
« J'ai de la considération pour le personne historique qu'il est, à cause de ce qu'il représente, non seulement parce qu'il est du sang de nos rois, mais parce qu'il est très pénétré du sens de l'intérêt général, de l'amour de la patrie. Il souhaite, chaque fois que c'est nécessaire, qu'on s'appuie sur le peuple contre les féodalités. Il a l'esprit capétien. Et puis, j'ai de la considération pour ce qu'il est personnellement : il a une magnifique famille, il a perdu un fils en Algérie. Il ne mérite que de l'estime. Mais ce n'est pas un candidat. Il ne correspond plus à ce siècle. Aujourd'hui, les monarchies ne se font pas, elles se défont. Il ne s'agit pas de reconstituer la monarchie héréditaire, il s'agit d'élire un Président de la République au suffrage universel. Et c'est tout différent. En tant que candidat pour la présidence de la République, il n'existe pas, et il a tort de se faire des illusions. »

Rapporté par Alain PEYREFITTE, C'était de Gaulle. II. « La France reprend sa place dans le monde ». Paris, De Fallois/Fayard, 1997, réédition Le Livre de Poche, 1999, p. 728.

_________________
« Le luxe [...] corrompt à la fois le riche et le pauvre, l’un par la possession, l’autre par la convoitise ; [...] il ôte à l’État tous ses citoyens pour les asservir les uns aux autres, et tous à l’opinion. »


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Message Publié : 10 Juin 2006 18:02 
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Inscription : 13 Mars 2006 10:38
Message(s) : 2476
Localisation : Lorraine
Un grand constitutionnaliste, Maurice Duverger, a pu qualifier la Vème république de "Monarchie républicaine".
Ce n'est plus le cas avec les dernières révisions constitutionelles et l'intégration européenne, mais vous trouverez ici un commentaire intéressant de cette notion par un autre grand historien du politique, François Goguel:
http://www.persee.fr/showPage.do?urn=rf ... 3_0000_000

_________________
Tous les désespoirs sont permis


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Message Publié : 27 Sep 2006 9:01 
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Hérodote
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Inscription : 26 Sep 2006 10:49
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Localisation : Bordeaux
je suis assez d'accord avec palladius.
Une chose est sûre, les pouvoirs du Président en France, son aura, sa fonction elle-même rapelle un certain pouvoir monarchique je trouve.
Il n'y a qu'à voir ce qui se passe avec l'article 16 qui permet au Président de la République de prendre les pleins dans des circonstances certes particulières mais en même temps difficilement contrôlées.

Je ne sais pas si c'est de la nostalgie de la monarchie, je ne pense pas. On n'accepterait plus un retour de la monarchie. Mais une chose est sûre, les pouvoirs et l'aura dont le Président dispose actuellement montre que tout notre héritage monarchique est bel et bien ancrée dans notre pays.

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Message Publié : 27 Oct 2006 23:50 
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Salluste
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Inscription : 15 Sep 2006 13:16
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Localisation : TOULOUSE
Je ne sais pas si les français sont nostalgiques de la monarchie (peut-être quelques uns sur ce forum... :wink: ).
Mais pour ma part, je crois plutôt qu'ils sont attachés à la République, à ses valeurs et à son histoire.

Ce que certains forumeurs nomment une sorte de nostalgie monarchique, je parlerais plutôt de la recherche de l'homme providentiel.
C'est bien lui (ou elle !) que le peuple cherche à chaque scrutin.
Pas un roi, mais un homme providentiel, une incarnation des institutions.
La monarchie implique l'idée d'hérédité, ce qui est contraire à la république, et à mon avis, contraire aux aspirtations des électeurs ! (:8:)

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Nous sommes des nains juchés sur des épaules de géants...


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Message Publié : 04 Nov 2006 19:34 
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Grégoire de Tours
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Inscription : 01 Nov 2006 16:49
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Localisation : Triangle des bermudes
Etre nostalgique de la monarchie, s'est risqué de l'être pour longtemps. Le fantasme nourrit l'espoir d'un renouveau. Demain, changerait-on un président par un roi? C'est prendre le risque de faire couler le sang.
Pour quoi faire, recommencer dans 100 ans? c'est idiot.

Le président est un seigneur républicain. c'est plus malin.

Il incarne la nation, son destin est lié au nôtre(le peuple). C'est en cela que je comprend le concept de droit divin.

Le roi ou le président, peut-être considéré par l'orphelin comme le père, et, le peuple en proie à la désillusion peut se décharger de sa souffrance existencielle sur le guide.

Heureusement que nous sommes en République, parce que ce genre de "transfert" peut monter à la tête du destinataire élu ou non.

Au passage, je reste un partisan du septennat. Ce processus théorique m'apparaît suffisamment complexe et dangereux pour ne pas le renouveler trop trop trop souvent. A tort, peut-être?

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Message Publié : 04 Nov 2006 20:59 
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Polybe
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Inscription : 03 Nov 2006 21:56
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Localisation : Sur les hauteurs dominant la Bièvre, ( pays des castors ) - Isère.
Tous les royaumes survivants d'Europe ont fini par accepter doucement la monarchie constitutionnelle : et ce n'est pas un hasard s'ils sont tous situés dans le nord du Continent : le passé témoigne que ces pays ont su évoluer sans heurts, sans "à-coups" ( L'Espagne est une exception pour des raisons purement historiques )...

Autrefois la Monarchie ne pouvait autrement se définir que derrière la personnalité du souverain... Aujourd'hui son pouvoir se limite à sa capacité de savoir sourire devant les flashes photos sans cligner les yeux et c'est déjà pas si mal... Les Bourbons de France auraient-ils eu la capacité de s'habituer à ce "climat" ? Sans aucun doute - Ils sont devenus, au fil du temps, si communs qu'ils auraient pu faire de parfaits souverains constitutionnels -

La France n'a pas voulu, où n'a pas su ( pour une sombre histoire de drapeau ) s'épargner l'épreuve de changer de représentant de façon régulière, c'est bien dommage mais il n'est jamais trop tard pour bien faire : tout nous prouve actuellement que ce partage de l'éxécutif entre Président de la République et Premier Ministre est un non-sens historique...Le pouvoir du P.R devrait se limiter a inaugurer les chrysantèmes et un Monarque ferait très bien l'affaire.

J.

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Message Publié : 04 Nov 2006 21:05 
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Grégoire de Tours
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Inscription : 01 Nov 2006 16:49
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Localisation : Triangle des bermudes
Certes, mais un roi avec une cravate, c'est un président.

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Message Publié : 04 Nov 2006 21:19 
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Polybe
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Inscription : 03 Nov 2006 21:56
Message(s) : 83
Localisation : Sur les hauteurs dominant la Bièvre, ( pays des castors ) - Isère.
Méandre a écrit :
Certes, mais un roi avec une cravate, c'est un président.


Mais tous les Rois "modernes" ont une cravate !!! ( ils en ont même plusieurs :P )

Ce qu'il faut bien comprendre une fois qu'on a oublié le principe de "Droit Divin" désuet et dépassé et pour lequel les contemporains de 1789 ne se fiaient même plus ( il n'y avait plus que ce malheureux Louis XVI pour y croire encore - Lui qui "ne savait -pourtant- pas faire le Roi"* ), c'est que la Monarchie repose sur un principe élémentaire : un homme ( ou une femme - faisons fi de la Loi Salique - ) peut très bien représenter une Nation toute sa vie durant et s'il n'en est pas capable ( ce n'est pourtant pas bien difficile ), il peut toujours être destitué... mais en ces temps respectueux de la personne humaine, qui ne pourrait pas être capable d'être Roi : cela a tout de même une autre gueule que de voir ce cirque médiatique qui va encore nous saouler pendant plus de 6 mois !!!!

J.

* Le bon mot est de Rivarol, je crois

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Message Publié : 04 Nov 2006 23:19 
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Grégoire de Tours
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Inscription : 01 Nov 2006 16:49
Message(s) : 545
Localisation : Triangle des bermudes
Ce qu'il faut bien comprendre une fois qu'on a oublié le principe de "Droit Divin" désuet et dépassé[/quote]

Voyez vous, je crois que l'on peut devenir président de droit divin. C'est étrange, mais une pyramide au Louvre?! Vraiment?

Aussi, un roi ou un président, j'ai le sentiment que les cieux ne font pas la différence, c'est peut-être l'incarnation de la nation?!

Esprit rationnel où es-tu? Dans ma foi en la République.

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Message Publié : 05 Nov 2006 1:08 
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Plutarque
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Inscription : 16 Oct 2006 0:12
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Localisation : Paris et Toulouse
Je crois que la République vise tout simplement à aspirer ce que la monarchie peut receler d'unificateur pour une nation. Ce qui explique sans doute que les gouvernants occupent les bâtiments publics qui jadis étaient les lieux de la monarchie. Si on a fait quitter Versailles à l'Assemblée sous la IIIe, les présidents continuent à dormir dans l'ancien hôtel de la Pompadour, et rechignent fortement à vendre les "bijoux de famille". Si bien qu'aujourd'hui, quand les quelques urbanistes hardis osent, dans un plan d'intégration de la proche et lointaine banlieue, avancer une délocalisation de Matignon hors de Paris, on les prend vite pour des illuminés.

La République peut-elle se débarasser de ses chancres ? Je reste peu convaincu qu'un régime politique dont la légitimité est fondée sur l'élection soit le régime le plus stable possible. Dès lors qu'un individu se rend compte que la majorité a effacé son choix, qu'il ne se reconnaît pas dans un gouvernant qui eût pu être autre, y'a-t-il cohésion ? A l'inverse, la monarchie, par ce qu'elle comporte d'imposé, de verticalité, anéantit la notion de choix. La tautologie est salvatrice : le roi est roi parce qu'il est roi. Songe-t-on pour autant à remettre en cause sa légitimité ? Du moment que le roi s'acquitte de sa clause dans le contrat tacite qui le lie au peuple (à savoir : le nourrir), il ne me semble pas qu'il soit l'objet de remises en question.

Toutefois, difficile de comparer objectivement les nations. Certes, le régime politique anglais comporte les petits ajustements qui manquent au système français (pas de télescopage de l'exécutif, chef de l'Etat réduit à un rôle d'influence et d'autorité morale), mais la transposition des modèles me paraît difficile. Ce qui me paraît encore plus difficile est le retour à une monarchie. Et encore, difficile est un euphémisme.

La France condamnée à être républicaine ? Difficile de répondre. Condamnée de fait, oui, pour les raisons susdites. Mais il ne me semble pas que la France se désole d'être républicaine : pour qu'aujourd'hui la droite ait fait sienne la République, et parfois plus que la gauche, comme on peut le voir sur la question de laïcité et du voile, c'est que la République est fermement ancrée.

Ensuite, il y a je pense une distinction fondamentale entre un "intérêt désintéressé" porté à la monarchie et un intérêt politiquement orienté. A mon avis, si nous nous intéressons autant à l'histoire de nos rois, et à tout ce qui en découle, c'est avant tout par la haute idée de lui-même et de son pays que le Français moyen a (si si ! :D ). Patrimoine artistique, immobilier, mobilier... tous les chemins mènent à la monarchie. Elle devient une vitrine identitaire sur l'histoire et sur le monde. D'un côté, l'histoire permet de savoir qui nous sommes ; de l'autre, le monde permet d'exprimer ce que nous sommes. L'intérêt est donc désintéressé pour moi, et il est à relier avec l'engouement qu'ont les Français pour la généalogie.

Un intérêt politique, nostalgique, j'y crois déjà moins. De toute façon, si les gouvernants et les juristes cherchaient de ce côté la clé qui permettrait d'obtenir un régime politique plus stable, ils se fourvoieraient. Le régime souffre-t-il vraiment de maux constitutionnels et institutionnels ? J'y crois peu. Il s'agit avant tout d'un problème de définition du "contrat" qui lie gouvernants et gouvernés. Mais c'est un autre sujet. :D


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