Sur la fin de l'hégémonie tonale, c'est évident que Schoenberg (et sa musique sérielle) arrive dans un climat où la tonalité a déjà été bien mise à mal. Wagner évidemment, mais aussi Liszt dans ses dernières oeuvres (Bagatelle sans tonalité, Nuage gris...). Et évidemment la nouvelle génération, de Debussy à Stravinski, en passant par Scriabine. Et même ceux qu'on appelle parfois post-romantiques : Richard Strauss et ses deux opéras des années 1900, Elektra et Salomé.
Après la Première guerre, lorsque que Schoenberg met au point la technique qui "assurera la suprématie de la musique allemande pour des siècles", l'époque est prête ! J'en parle un peu dans une petite vidéo, qui revient aussi sur le fonctionnement interne de ces fameuses séries dodécaphoniques... https://www.youtube.com/v/IyCA0qkshjI
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