Rémy N. a écrit :
Atlante a écrit :
10%
J'ai un ancien Que sais je ? sur la Généalogie qui donne des chiffres inférieurs à 4% dans mon souvenir (je ne l'ai pas sous la main en raison du confinement...), tout en précisant que les estimations varient selon les époques, mais également que l'extrême majorité des cas d'adultères sont intra-familliaux (Beaux-frères, belles-soeurs...), ce qui réduit paradoxalement l'impact (

) sur les arbres théoriques...
Pour ce qui est de l'étude que vous citez sur les traces de viking en Normandie, c'est un peu l'histoire du verre à moitié vide ou à moitié plein cette histoire!

63 testés sur 89 qui disposent de marqueurs qui pourrait être positif (donc oui du conditionnel, car il n'y PAS de marqueur viking strict, c'est uniquement statistique, et de plus l'étude ne porte que sur une partie limité de l'ADN), ce n'est pas si ridicule après 1200 ans...
Vous m'excuserez de m'auto-cité, mais je pense que cela sera plus lisible de cette façon.
Je n'ai pas encore remis la main sur le Que-sais-je ? En question, mais j'ai trouvé une étude intéressante qui donne plusieurs chiffres pour les populations d'Europe occidentale:
[url]http://secher.bernard.free.fr/blog/index.php?post/2014/06/23/Faible-taux-d-infédilité-en-Europe-Occcidentale[/url]
Les chiffres donnés selon plusieurs méthodes sont :
0,94 en Allemagne (Test suite à des transplantation de moelle osseuse)
O,91% En Belgique par génération depuis 1800, (Estimation effectué suite à des tests sur l'ADN Y)
0, 65% en Suisse (Test suite à des transplantation de moelle osseuse)Pour la période contemporaine.
Une autre méthode, toujours dans le même article, donne une estimation de 2% par génération entre le XVII et le XXème siècle en Flandre.
Je n'ai pas le détail de l'étude, mais une etude canadienne sur 8 500 français aurait donné un chiffre d'environ 0,5% en l'an 2000.
Quoiqu'il en soit, statistiquement, plus on remonte et plus notre généalogie devient effectivement "sociale" ou "déclarative", a fortiori dans les branches agnatiques.